Arnaud Perez (LCMCP)
"Solid-state chemistry approaches to design new materials for energy storage systems" Keyword Battery materials, Solid-state chemistry, ex situ/operando characterization 14 juin 2022 Salle 101 UFR de Chimie à partir de 14h
Pr. Alexandre Dazzi présentera une conférence intitulée "When atomic force microscopy meets infrared" le 29 Mars Salle 54.55.203...
Le laboratoire MONARIS participe à la première édition d'une formation sur la spectroscopie moléculaire en phase gazeuse et à haute résolution, intitulée Tour de France de la Spectroscopie dédiée aux jeunes doctorants. Formation sur plusieurs sites > En savoir plus
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Quantum characterisation of chemical bonding enables chemical processes to be rationalised, understood and predicted. Although it has been widely explored over the last century, chemical bonding under stress has been little studied so far. However, real chemical systems mostly operate in complex environments and are subject to a variety of constraints (electrical, mechanical, …).
Stage de Master M2S2 ""Mise en place d'un protocole d'analyse de traces d’acides nucléiques et aminés dans des analogues de poussières extraterrestres, avec inclusion dans des aérogels de silice"" (annonce éditée le 29/09/2021)
L’irruption des « plastiques » dans le monde de l’art a offert aux artistes des nouvelles matières qu’il est nécessaire de bien connaître pour témoigner des démarches artistiques et mettre en œuvre les procédures de conservation/restauration appropriées. Dans ce contexte, les scientifiques du laboratoire MONARIS (Sorbonne Université / CNRS) ont élaboré des protocoles analytiques non invasifs combinant spectroscopies infrarouge et Raman. Pour 7 œuvres sélectionnées dans la collection de la Galleria Nazionale d’Arte Moderna e Contemporana à Rome (Italie) et réalisées dans les années 1960, ils sont parvenus à identifier précisément les polymères utilisés comme liants et les pigments entrant dans la composition des peintures. Ces résultats sont publiés dans la revue de chimie analytique Talanta.

Le graphène est une forme cristalline du carbone qui adopte une géométrie de feuillet ultramince. Des monocouches d’autres matériaux peuvent s’adsorber sur ces feuillets et combiner leurs propriétés à celles de ce support ultramince pour obtenir des matériaux bidimensionnels très intéressants. Mais dans le cas de chromophores organiques fluorescents, des composés qui émettent de la lumière quand ils sont éclairés, le graphène génère des interactions électroniques à l’origine de l’extinction de la fluorescence. Pour contrer ce phénomène, la distance entre les molécules et le graphène ainsi que leur orientation doivent être contrôlées. Des chercheurs du laboratoire Building blocks for future electronics laboratory (2B-FUEL, CNRS/Sorbonne Université/Université Yonsei), du laboratoire De la molécule aux nano-objets : réactivité, interactions et spectroscopies (MONARIS, CNRS/Sorbonne Université) et de l’université Yonsei (Corée du Sud) ont utilisé la chimie supramoléculaire sur surfaces et le concept de chimie « hôte-invité » pour disposer, sans interaction électronique, les chromophores sur le graphène...
Les spectroscopies vibrationnelles nous renseignent sur la taille d’une nanoparticule et l’agencement de ses atomes, ce qui permet de l’identifier, grâce aux vibrations que celle-ci émet lorsqu’elle est excitée, par exemple par de la lumière dans la spectroscopie Raman....